Visitez la vieille ville et découvrez des lieux insolites. Avec votre smartphone, parcourez les rues de Genève et résolvez les énigmes dissimulées parmi les monuments historiques.
Votre ami archéologue Carles, lors de fouilles sous la cathédrale de Genève, a découvert un cryptex avec des inscriptions mystérieuses.
Il a besoin de votre brillant esprit de déduction et de votre expertise en symbologie pour comprendre le secret qu'il renferme.
Lors de votre aventure, vous allez découvrir l'histoire de la cité de Genève et explorer la vieille ville, où des énigmes ont été dissimulées par une confrérie occulte : Les Gardiens de la Lumière.
Cette aventure reprend les mécanismes de jeux des «escape game». C'est à dire que les règles ne sont pas explicites. C'est au joueur de deviner ce qu'il doit faire en examinant les éléments qui lui sont présentés.
Rien en dehors de ces éléments n'est nécessaire pour résoudre les énigmes. Soyez observateur, le décor urbain dissimule également des indices.
L'aventure est basée sur des personnages, documents et faits historiques ayant un rapport avec la ville de Genève.
Votre parcours vous emmènera depuis la place du Mollard (proche du jet d'eau) jusqu'au travers des rues de la vieille ville. Vous aurez l'occasion de visiter son arsenal militaire, la cathédrale Saint-Pierre, l'église saint Germain, l'hotel de ville, le Parc des Bastions et le Mur des réformateurs.
Vous découvrirez l'histoire de la ville au travers de personnages tels que Jean Calvin, Jean-Jacques Rousseau, Guillaume Henri Dufour, Mary Shelley ou encore Guillaume Farel.
Une fois que chaque membre de votre équipe a téléchargé l'application, rendez-vous à l'arrêt de tramway Molard (ligne 12).
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«Que l'aventure commence !»
L'aventure s'effectue ensuite entièrement hors ligne. Vous n'aurez pas besoin de connexion internet durant la partie.
Genève est fondée par les Romains au IIème siècle av. J.-C après la conquête du pays allobroge. La ville est un poste avancé de l’Empire et des fortifications, un oppidum, sont construites en haut de la colline pour prévenir les incursions helvètes, un peuple composé de tribus celtes qui occupait la suisse actuelle. Genève, Genua en latin, a la même étymologie que la ville de Gène et signifie “la bouche du fleuve”. En 350, la première cathédrale chrétienne est bâtie sur les ruines d’un temple païen.
A la chute de l’empire romain, la ville est conquise en 443 et devient la capitale du royaume burgonde. Puis la région passe sous domination franque en 534. Le pouvoir est partagé entre un seigneur, le comte de Genève et l’évêque. Puis en 1124, l’évêque obtient les pleins pouvoirs. Genève est franchisée en 1387 : les bourgeois élisent des représentants pour gérer les affaires de la ville, le syndic.
En 1526, Genève signe un traité d’alliance avec Bern et Fribourg. L’église perd son pouvoir, la ville devient autonome et n’est dirigée que par l’aristocratie sous forme de conseil élu. En 1536, la ville devient protestante sous l’impulsion de Guillaume Farel et Jean Calvin. Sous la menace du royaume de Savoie voisin, Genève noue des alliances avec la confédération suisse. En 1792, les révolutionnaires français envahissent la ville. Puis, suite à la défaite de Napoléon, la ville redevient indépendante et rejoint peu après la confédérations suisse en 1815. A l’issue de la première guerre mondiale, la société des nations, future ONU, est fondée à Genève en 1919, afin de promouvoir la diplomatie collective et d’éviter les négociations secrètes entre pays.
Les allobroges étaient une tribu celte qui vivait sur l’actuel territoire de la Savoie. Allobroge signifie le peuple errant. Lors de l’annexion par l’empire romain au IIe siècle avant JC, le territoire prendra le nom de pays des sapin, Sapaudia en latin, ce qui donnera le nom actuel du pays de Savoie.
Les fouilles archéologiques ont commencé en 1976. Elles ont révélé la tombe d’un chef allobroge ainsi qu’une présence romaine il y a plus de 2000 ans. Les archéologues ont également découvert les vestiges des premières églises catholiques. La première fut construite en 350 après JC.
Jean Calvin est un pasteur d’origine française emblématique de la réforme protestante du XVIe siècle. De passage à Genève en 1536, Guillaume Farel, un prédicateur itinérant et protestant, l’invite à rester. Ensemble les deux hommes rédigent vingt-et-un articles, la confession de foi calviniste, qui a pour but de d’organiser l’Église réformée genevoise.
Le consistoire est une assemblée comprenant cinq pasteurs et douze anciens. Il contrôle l’orthodoxie de la religion mais aussi les moeurs des Genevois. Son influence est très importante dans la vie quotidienne des habitants de la cité. Les interdits sont nombreux : les chants non religieux, la danse, le jeu, la prostitution,… De nombreuses sorcières seront brûlées. Elles seront notamment accusées, lors de la peste de 1544, d’utiliser la graisse des cadavres sur les serrures des portes pour invoquer la maladie. Des inquisiteurs visitent régulièrement les maisons et interrogent ses habitants pour contrôler le respect des règles. La délation est encouragée. L’interdiction du luxe aura une conséquence économique inattendue : les artisans joailliers se tourneront vers l’horlogerie. Ce secteur économique est encore important de nos jours.
La première église Sainte-Marie Madeleine fut construite à l’ère Romaine, sur les ruine d’un ancien temple de Maia, déesse du printemps et de la fertilité. L’église connut plusieurs incendies. L’actuel temple date du XVe siècle. Ancienne prostituée, Marie Madeleine est apôtre et épouse spirituelle du Christ. Elle assiste à sa crucifixion et pleure sa mort. C’est de cet épisode que vient l’expression : "pleurer comme une Madeleine".
La place fut construite par les Romains et utilisée pour faire du commerce. Durant le Moyen Âge, cette place abritait d’importantes foires contribuant à la prospérité de Genève. En effet elle se trouve au carrefour d’importantes voies commerciales reliant l’Italie, la France et la Flandre. Le château du roi burgonde Gondebaud, puis le manoir du comte de Genève, se trouvaient également sur cette place.
En 1815, à la chute de Napoléon, la ville retrouve son indépendance et le suffrage censitaire est établi : seuls les aristocrates ont le droit de vote. Après de nombreuses grèves, le peuple se révolte et James Fazy prend le pouvoir en 1846, il instaure une nouvelle constitution garantissant le droit de vote universel masculin.
Peuple d’origine balte, les Burgondes migrent à la fin de l’antiquité vers le sud de la Gaule et se fédèrent à l’empire Romain. Lors de son effondrement, ils fondent leur propre royaume avec pour capitales Genève et Lyon. Le roi Gondebaud, après avoir assassiné deux de ses frères, leurs femmes et leurs fils, s’allie aux Francs en 491. Pour sceller cette alliance, il donne à leur roi, Clovis, la main de sa nièce Clotilde. Fervente catholique, elle convertit son mari, ce qui entraînera la christianisation d’une grande partie de l’europe occidentale. En 532, le royaume est annexé par les Francs, il constituera l’ancêtre du duché de Bourgogne.
La maigreur de la statue dénonce la maltraitance juvénile. Lorsqu’un fait divers ou l’actualité, ont pour sujet la maltraitance de personnes en position de faiblesse, des anonymes fleurissent la statue en guise de protestation.
L’objectif du pèlerin est d’atteindre en marchant le tombeau de l’apôtre Jacque de Zébédée, situé au nord de l’Espagne. Ce pèlerinage se développe suite à la prise de Jérusalem par les turc au XIe siècle. Les pèlerins avaient pour habitude de ramener une coquille ramassée sur la plage à proximité de la ville de Santiago de Compostela comme témoignage de leur voyage.
L’église actuelle de style gothique date du xve siècle et était à l’époque entourée d’un cimetière. Le quartier logeait le bas peuple au Moyen Âge. C’était aussi le quartier des bouchers et des Juifs.
Mary est la fille d’une féministe et d’un écrivain londonien. Elle commence une liaison amoureuse avec un homme marié. Rejetés par leurs parents respectifs, ils se réfugient à Genève. En 1816, connue comme l’année sans été, l’éruption d’un volcan en Inde provoque un hiver volcanique entraînant la famine au travers de l’europe. C’est alors que Mary Shelley écrit Frankenstein ou le Prométhée moderne, oeuvre précurseuse de la science fiction moderne.
La structure actuelle a été construite en 1633. Elle servit d’abord comme espace couvert pour le marché. Elle fut utilisée ensuite comme arsenal, avec salle d’arme et dépôt de fusil. Les canons datent du début XVIIIe siècle. Ils sont ornés de lions et de loups, symboles de force et de vigilance. A l’époque de Napoléon (1798–1813), 200 pièces d’artillerie défendaient la ville.
Les mosaïques datent de 1945. Elles représentent trois périodes importantes de la ville de Genève. De gauche à droite : L’arrivée de Jules César en 58 avant JC et la fondation de la ville. Les foires du Moyen-âge. L’accueil des réfugiés protestants suite à la révocation de l’Edit de Nantes en 1685 qui déclenche leur persécution en France.
Dufour est le fils d’un homme politique genevois. Il est formé en France à l’école polytechnique et fait carrière comme ingénieur dans l’armée française de Napoléon. A sa chute en 1815, il retourne à Genève où ils fondent une école militaire et devient professeur. Il a pour élève le futur Napoléon III. Parallèlement, il est responsable cantonal de l’urbanisme et fait effectuer des grands travaux améliorant considérablement les infrastructures de la ville : chemin de fer, pont suspendu, boulevards, etc. Il effectue également le premier atlas topographique complet de la Suisse. En 1847, La guerre civile du Sonderbund éclate, entre les cantons catholiques et conservateurs qui veulent faire sécession, et les cantons plus progressistes et démocratiques. Le général Dufour prend la tête de l’armée suisse contre les cantons séparatistes et gagne la paix en 27 jours avec un minimum de perte des deux côtés. Il ordonne de prendre soin des prisonniers, des civils et des blessés appartenant à l’armée vaincue. Il est le co-fondateur avec Henri Dunant de la Croix Rouge, et organise la première convention de Genève, qui protège entre autres, le personnel de secours aux blessés.
La maison de Tavel se trouve en face de l’Arsenal. Elle abrite un des musées d’art et d’histoire de Genève. L’entrée est gratuite. Construite au XIIème siècle, elle témoigne de l’architecture médiévale de Genève. La maison abrite une impressionnante maquette de la ville effectuée en 1850, avant la suppression de ses fortifications. Sur la façade, des sculptures où des visages des anciens propriétaires sont représentés. Des sculptures d’animaux sont également présentes sur la façade, elles illustrent, selon les Tavel, les vices du pouvoir religieux en place : le porc pour la luxure, l’ours pour la gourmandise, le lion pour l’orgueil et le chien pour la cupidité.
Vladimir Ilitch Oulianov, dit Lénine, est un des instigateurs de la révolution communiste russe. En 1895, il est déporté en Sibérie par le Tsar pour 5 ans. Il trouve ensuite refuge dans différentes villes européennes pour organiser son action politique. En 1902, il s’établit à Genève et crée le parti Bolchevik. Il publie de nombreux textes d’inspiration marxiste puis essaie de convaincre les camarades suisses de se révolter, sans succès. En 1917, après plusieurs révolutions manquées, le régime tsariste s’effondre. Lénine quitte la Suisse et, soutenu par les ouvriers prend le pouvoir en Russie.
Au début de la seconde guerre mondiale, un vaste abri antiaérien fut construit sous la vieille ville pouvant accueillir 1200 personnes. L’espace n’étant plus utilisé par la protection civile, il est maintenant utilisé pour des expositions culturelles et des concerts, l’épaisseur des murs offrant une acoustique optimale. Une sculpture représentant une bombe orne le sommet de l’ancienne entrée de l’abri. Bien que la Suisse ait été neutre pendant la seconde guerre mondiale, l’abri devait servir au cas où des pilotes se tromperaient de cible. Ce qui arriva en 1940 : l’aviation anglaise confondit la ville de Genève (Genova) avec la ville italienne de Gène (Genoa). Huit bombes furent lâchées. Elles causèrent la mort de huit personnes et en blessèrent une dizaine d’autres.
Elles représentes les deux rivières qui se rejoignent dans Genève, le Rhône et l’Arve, ainsi que Neptune, le dieu grecque des rivières. L’Arve est une rivière boueuse venant des montagnes et traversant la campagne savoyarde. Elle est représentée par une vieille paysanne, un peu fruste et maigre. Le Rhône est représenté par un jeune homme vigoureux aux traits méditerranéens, mer dans laquelle se jette le fleuve. Les mosaïques furent construites en 1952.
La rue était utilisée pour sortir de la ville haute au Moyen Âge. Les chicanes et la multiplication des angles aveugles ont été prévus pour empêcher les assaillants de tirer des flèches aisément, alors que les défenseurs à l’abri derrière des meurtrière pouvaient viser plus facilement.
Né à Genève en 1712, il n’est pas que philosophe des Lumières. Il devient tout d’abord célèbre grâce à ses romans d’amour et sa musique. Il définit le contrat social : l’individu s’engage dans la société et se place sous son autorité, en échange la société fournit liberté et sécurité à l’individu. Selon lui, l’homme à l’état primitif est naturellement bon, c’est la vie en société qui le rend mauvais. Voltaire, également Genevois et philosophe des Lumières se moquera de cette idée, en invitant Rousseau à venir chez lui boire « du lait de nos vaches et brouter nos herbes ».
Les pierres utilisées pour bâtir l’escalier étaient autrefois des bordures de trottoirs. Les chiffres indiquent les numéros d’emplacement attribués aux marchands sur l’ancienne place du marché.
Les livres valaient extrêmement cher au Moyen Âge. Ils étaient souvent enchaînés aux bibliothèques pour éviter le vol. Il fallait quelques mois à plusieurs moines pour effectuer une copie. Les pages sont fabriquées à partir de peau de mouton, plusieurs dizaines sont nécessaires pour un ouvrage moyen. Le travail est fastidieux. Il arrive que le copiste craque et insère des commentaires ou change le sens du texte. L’enlumineur se charge des illustrations. Il n’est pas rare qu’il s’amuse à cacher des références scatologiques ou pornographiques dans ses dessins.
Bien que la cathédrale actuelle ait été construite au XIIe siècle, la façade, de style néoclassique, date du milieu du XVIIIe siècle. Le site archéologique sous la cathédrale révèle que l’endroit a une longue histoire funéraire. Il abritait en 1150 av JC un tumulus : monument en terre dédié aux défunts. Les fouilles ont également révélé la tombe d’un chef allobroge datant de 100 av JC. Puis lors de l’installation des Romains, un temple en bois fut construit : une stèle datant du IIe siècle, découverte sous la cathédrale, nous indique qu’il existait un culte au dieu Mithra.
Les blasons, ou armoiries, étaient au Moyen Âge ce que les logos sont à l’époque contemporaine. Au haut Moyen Âge, les heaumes, cachant le visage des chevaliers, se démocratisent. Les blasons leurs permettent alors de se reconnaître sur le champs de bataille sans ôter leur casque. Ils se généralisent à toute la société à partir du XIIIe siècle. Les formes, les couleurs, et les représentations sont codifiées. L’armoirie sur la cathédrale, coiffée d’un chapeau à large bord, est réservé aux ecclésiastiques. Le nombre de noeuds de la cordelière associée reflète le rang de l’ecclésiastique. La croix à double traverse, est une croix patriarcale qui symbolise le christianisme.
Guillaume Farel, surnommé le fléau des prêtres, est une figure de la Réforme protestante. Il arrive à Genève en 1532 où il prêche en dénonçant les pratiques religieuses de la ville. Il fut d’abord roué de coups et chassé. Avec le soutien de la ville de Berne, puis de Jean Calvin, il finit par imposer sa volonté, et la ville adopta la Réforme en 1536. Il est cependant banni en 1538 pour cause de rigorisme excessif.
L’intérieur de la cathédrale date du XIIe et XIIIe siècle. Il mélange le style roman et gothique. Initialement conçue pour le rite catholique, l’avènement de la Réforme protestante bouleverse l’intérieur de l’édifice : les ornements et peintures sont vidés. La spiritualité calviniste est plus tournée vers l’écoute de la parole de dieu que vers les images. Pour des raisons économiques, le mobilier et les vitraux sont conservés. La cathédrale est toutefois davantage qu’un lieu de culte au cours des siècles, comme c’était souvent le cas au Moyen Âge, elle fait aussi office de salle commune et abrite les séances des conseils communaux.
La stalle, sculptée dans du noyer, date du XVe siècle. L’ordre des personnages représentés respecte le double credo : un prophète suivis d’un saint. Ces derniers sont reconnaissables à leurs auréoles et aux objets qu’ils tiennent dans leur main. C’est souvent l’arme qui a servi à leur exécution : gourdin, croix, couteau… Les ornementations des miséricordes, petits sièges qui, repliés, permet de prendre appui debout, ne représentent aucun saint, car ils se seraient alors retrouvés sous les fesses de leurs occupants.
La chapelle a été bâtie en 1405, puis restaurée en 1878 dans un style néo-gothique. Elle abrite les reliques des sept frères Maccabées. Ils sont vénérés par les chrétiens parce qu’ils furent massacrés en 166 av JC après avoir refusé de renier leur foi juive en mangeant du porc. La même année, Judas Maccabée déclencha une révolte contre l’oppresseur grec et obtint l’indépendance pour son peuple en s’alliant avec les Romains.
ΙΗΣ est l’abréviation de IHΣOYΣ, qui signifie Jésus en grec. Ce monogramme est l’emblème de l’église protestante. Il est également interprété comme les initiales de « Iesous hemeteron soter », c’est-à-dire « Jésus notre Sauveur »
Mithra est originellement un dieu iranien datant du IIe millénaire av JC et adoré comme dieu unique. Enfanté par une pierre, il captura un taureau, symbole du contrôle des forces naturelles par les hommes. D’abord récupéré par l’armée d’Alexandre le Grand, son culte fut ensuite introduit à Rome. Il connut son apogée dans l’empire au IIe siècle apr JC. Le mithraïsme est un culte à mystères, l’adepte doit se libérer des passions charnelles en progressant au travers de 7 grades, correspondant chacun à un astre. La religion chrétienne a beaucoup emprunté au mithraïsme. Par exemple, la naissance du dieu le 25 décembre ou le partage du pain lors de la messe.
Il fut construit en 1909, pour le 400e anniversaire de la naissance de Calvin. Les sculptures représentent les hommes d’état, pionniers ou protecteurs de la réforme protestante. On peut également lire des textes législatifs garantissant la liberté de culte dans leur langue originelle.
Post Tenebras Lux, devise issue de l’Ancien Testament, signifie Après les Ténèbre la Lumière. C'est la devise de l’église protestante et de la ville de Genève depuis 1542.